L’approche “New Age”
Mon approche est typique pour les Poissons – sans respecter les limites relatives humaines des concepts, religions, sciences, époques – je crois que : « Ce qu'il y a de plus incompréhensible dans l'univers, c'est qu'il soit compréhensible». (Einstein) Il y a une réponse/une solution aux problèmes que vous considérez comme insolvables et cette réponse a déjà été trouvée et elle est accessible. Nous pouvons apprendre tout ce dont nous avons depuis longtemps besoin et c’est ici et maintenant.
J’ai décrit ma conception de la vie dans mon livre – « Le nœud lunaire ». J’ai même testé le fonctionnement de mon prisme. Il s’est avéré qu’il fonctionne.
Où sommes-nous?
Il y a une légende nomade sur la coupe d’or.
Un khan, traversant les steppes avec son peuple, ordonna par inadvertance que toutes les personnes âgées soient abandonnées car elles ralentissaient le mouvement du groupe et nécessitaient beaucoup de soins. Seul, un de ses sujets – un jeune homme, refusa de trahir et d’abandonner son père qui était âgé.
Un jour, le khan et son peuple s’arrêtèrent pour passer la nuit au bord d’une rivière. En plein milieu de la nuit, tous les gens virent dans la rivière une jolie coupe en or. Le khan ordonna qu’on la sorte de là et qu’on la lui apporte.
Au début, les hommes les plus vigoureux commencèrent à plonger un par un dans la rivière, mais ils se noyèrent l’un après l’autre. Le nombre des hommes diminuait jour après jour, mais le khan continuait à convoiter la coupe. Le garçon, qui n’avait pas trahi son père, demanda comment éviter la mort qui guettait dans la rivière. C’est alors que son père lui dit : « Ce que vous voyez dans la rivière n’est que le reflet de la coupe d’or. Elle n’y est pas. Elle se trouve au sommet de la montagne - inaccessible pour l’homme, qui se trouve à proximité. Deux chèvres font la garde devant la coupe. Essaye de faire peur aux chèvres, elles vont la faire tomber et tu l’attraperas »… Le garçon réussit à s’emparer du bocal et le knah annula l’ordre d’abandonner les personnes âgées qu’il avait donné auparavant.
Malheureusement, ce sont les hommes de nos jours qui sont noyés au fond de la rivière. Nous respirons et vivons sous l’eau – au fond.
La rivière, qui traverse ma ville natale, s’appelle La Maritza. Si nous adoptons une approche artistique et que nous ajoutons encore un T, cela donnera le mot « MaTritza » en bulgare ce qui en français est l’équivalent du mot « matrice ». Nous avons tous entendu parler du film « The Matrix ». Le quartier dans lequel j’ai grandi s’appelle «Karshiaka» - une appellation qui vient de la langue turque (ma connaissance de la langue turque est faible : ne prêtez pas attention au fait que le nom du quartier n’est pas écrit correctement) et qui signifie « au-delà de la rivière »…autrement dit « au-delà de la matrice »…
Nous savons qu’il vaut mieux que ceux qui ne sont pas prêts à adopter la réalité restent dans la matrice (la rivière). Mais il serait bon de donner la chance à ceux qui veulent en sortir de le faire.
...
Je vous présente une approche différente du monde. Les sources de mes connaissances sont l’art, l’astrologie, la psychologie…Nous creuserons un tunnel sous les émotions pénibles et les scénarios qui induisent la peur et nous trouverons quelle est la raison de l’inconfort. J’espère que vous trouverez le courage de montrer qui vous êtes. Ensemble, en amont, nous partirons en mission pour découvrir la terre ferme, bien que le lit de la rivière et sont fond soient aussi de la terre ferme. Mais, voulez-vous vraiment vivre au fond ? Nageons à contre-courant à travers les difficultés et nous ressurgirons par la suite à la surface. Les étoiles nous suggérerons notre position et nous aiderons à trouver notre chemin vers la maison.
Sources:
“Lunar Node” – book, Nadezhda Koleva;
“The Golden Cup” – tale, Asian tale;
“The Matrix” – movies, all parts;
“The New Knowledge” – TV show, all episodes with Kiril Kirilov.